Au cours de l'album " La maison du péril ", il y a eu des crayonnés qui, comme sur la planche 16, ne prennent tout leur relief qu'à l'encrage.
Ici, il s'agit d'une simple mise en place. C'est l'encrage qui va donner de la vie au dessin.
Par contre, sur une autre vignette de la même planche, le crayonné est si vivant qu'il faut puiser plus d'énergie à l'encrage pour restituer la même efficacité. Ce
qui n'est pas toujours facile !
Ici, il s'agit d'une seconde version d'une scène où le jeu des personnages était particulièrement jouissif à mettre en place.